Figure 1.

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Suivi de cellules uniques. A. Des cellules peuvent être observées in vivo si elles ont été rendues fluorescentes, par expression d’une protéine de type GFP (green fluorescent protein) ou par marquage avec des fluorochromes dédiés. Le microscope biphoton, utilisant un laser infrarouge peu absorbé par les tissus biologiques, est l’outil de choix pour observer des cellules en profondeur, au sein d’un organe [5, 6]. Le schéma ne respecte pas les proportions réelles. B. Diagrammes illustrant les énergies mises en jeu lors d’un processus de fluorescence monophotonique (haut) ou biphotonique (bas). L’excitation (représentée par une onde bleue) requiert toujours plus d’énergie que l’émission (onde verte), ce qui engendre un décalage spectral vers le rouge. Un processus biphotonique combine deux photons ayant chacun la moitié de l’énergie nécessaire (ondes rouges). C. Trajectoires (en blanc) de lymphocytes OTI-GFP (verts, exprimant un récepteur T qui reconnait spécifiquement un épitope de l’ovalbumine) enregistrés au sein d’une tumeur EG7 (exprimant l’ovalbumine) chez une souris anesthésiée. Les vaisseaux irrigant la tumeur ont été marqués par injection de dextran couplé à la rhodamine (rouge). D. Contrôle négatif, enregistré au sein d’une tumeur analogue, EL4, mais n’exprimant pas l’ovalbumine. Noter l’étendue accrue des trajectoires, pour une durée d’enregistrement égale (30 min). Pour C et D, images adaptées de Boissonnas et al. [14].
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