Figure 1.

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Signalisation calcique dans les lymphocytes T. La reconnaissance du peptide antigénique en association avec les molécules du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) à la surface de la cellule présentatrice d’antigène (CPA) par le récepteur T pour l’antigène (TCR) active les tyrosine kinases (TK) des familles src et syk (spleen tyrosine kinase) qui phosphorylent des enzymes incluant les MAP kinases, la phospholipase Cγ (PLC γ). Cette dernière clive le PIP2 en IP3 et diacylglycérol (DAG). L’IP3 se fixe sur ses récepteurs RIP3 à la membrane du RE ce qui libère les stocks de Ca2+ du RE dans le cytosol. La déplétion est perçue par STIM qui s’oligomérise et vient en apposition avec les canaux ORAI ce qui permet un influx de Ca2+ du milieu extracellulaire dans le cytosol. D’autres canaux calciques comme les canaux Cav1 pourraient contribuer à cet influx. L’augmentation de [Ca]i active des calmoduline kinases et la calcineurine, une phosphatase qui déphosphoryle le facteur de transcription NFAT, permettant sa translocation nucléaire et l’activation des gènes cibles. PKCθ : protéine kinase C θ ; AP-1 : activator protein-1.
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