Figure 4.

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Exemple d’application de la technique LMPCR. Ces autoradiogrammes montrent la cartographie des DPC obtenus sur le gène aprt (adénine phosphoribosyltransférase) après une irradiation aux UVA, UVB, UVC ou à la lumière solaire simulée (SSL). Les quatre premières colonnes de chaque autoradiogramme correspondent à la LMPCR appliquée sur de l’ADN spécifiquement cassé au niveau des G, des A, des T et C ou sur des C seuls. Elles permettent de suivre la séquence sur le gène et donc de situer le lieu des dommages. Chacune des flèches à droite représente un site dipyrimidinique, c’est-à-dire un site potentiel de DCP. Les bandes sur l’autoradiogramme correspondent à des sites effectivement endommagés. Leur intensité dépend du nombre de molécules d’ADN au départ qui étaient cassées à cette position nucléotidique. La colonne identifiée « NoUV » correspond à la LMPCR faite sur de l’ADN non irradié. Elle sert de contrôle négatif et constitue un indicateur du bruit de fond produit par la technique. On peut remarquer que les UVA provoquent presque exclusivement leurs DCP sur des sites TT alors que les autres longueurs d’ondes sont moins exclusives et endommagent tous les types de dipyrimidines. Le tableau recense les dommages quantifiés à partir de ces deux autoradiogrammes et des autoradiogrammes correspondants au brin opposé (non montrés). La localisation de ces dommages aux TT coïncide avec le spectre de mutations aux UVA précédemment publié [8]. (adapté de [10]).
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