Figure 1.

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Représentation schématique de la théorie de la mutagenèse somatique. La probabilité qu’une mutation donnée soit associée à une transformation maligne donnée suppose : (1) que des dommages en quantité suffisante surviennent à cet endroit (fréquence des dommages) ; (2) qu’ils ne soient pas réparés ou qu’ils soient réparés suffisamment lentement (réparation) pour que (3) la polymérase de réplication de l’ADN ait le temps de venir répliquer cet ADN endommagé, qu’elle interprète mal cette base endommagée et ainsi qu’elle « fixe » la mutation (en incorporant un mauvais nucléotide en face de la base endommagée) (erreur de réplication) et finalement (4) que cette mutation influe sur le phénotype cellulaire dans une fonction associée à la transformation maligne (sélection des mutations « avantageuses »).
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