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Figure 2.

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L’apport de substrats énergétiques au réseau astrocytaire soutient la transmission synaptique durant une déprivation exogène de glucose. A, B. Illustrations représentatives de la configuration d’enregistrements simultanés, dans des tranches d’hippocampe, de réponses neuronales, consistant en des potentiels de champ post-synaptiques excitateurs (PPSE) (Neu) évoqués par stimulation des collatérales de Schaffer (Stim), et d’un astrocyte (Astr), avec une pipette de patch contenant du glucose ou du lactate (20 mM) et un colorant de faible masse moléculaire perméable aux canaux jonctionnels, la sulforhodamine-B (rouge, 0,1 %). La sulforhodamine-B diffuse massivement dans les astrocytes connectés de souris sauvages (+/+), mais non dans ceux des souris invalidées pour les connexines 43 et 30 (Cx43−/−Cx30−/−), dépourvus de communication jonctionnelle. Échelle, 50 µm. C-D. L’apport intracellulaire de glucose (20 mM) à un astrocyte unique (+ glucose astrocytes) par une pipette de patch-clamp inhibe la dépression de l’activité synaptique (amplitude des PPSE) induite par la déprivation exogène de glucose (0 glucose, 32 minutes) chez les souris sauvages (C), mais non chez les souris Cx43−/−Cx30−/− (D). Ces résultats démontrent le rôle du réseau astrocytaire sous-tendu par les jonctions communicantes dans le soutien de la transmission synaptique.

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