Figure 2.

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Mécanismes d’action de la dDAVP. La dDAVP inhibe la réponse inflammatoire dépendante de TLR4 induite par les E. coli uropathogènes (UPEC) et favorise la colonisation des reins dans un modèle d’infection ascendante du tractus urinaire chez la souris. A. Des souris normales (Lpsn) ou déficientes en TLR4 (Lpsd) ont été inoculées par voie transurétrale avec des UPEC (108 bactéries) 48 heures après l’implantation sous-cutanée de minipompes osmotiques délivrant de la dDAVP en continu (1 ng/µl/h). Vingt-quatre heures après l’infection, les souris ont été sacrifiées et les analyses effectuées sur les reins ont montré une diminution de l’expression des ARNm des cytokines pro-inflammatoires comme MIP-2 (macrophage inhibitory protein), et une augmentation de la charge bactérienne dans les reins [exprimée en nombre d’unités formant colonie (UFC) par rein] des souris Lpsn, mais pas des souris Lpsd, démontrant ainsi que la dDAVP inhibe la réponse inflammatoire dépendante de TLR4. B. A contrario, les analyses réalisées sur des reins de souris Lpsn prétraitées avec un antagoniste du récepteur de la dDAVP, le SR121463B (0,03 ou 0,3 mg/kg), puis inoculées avec des UPEC, ont montré une augmentation de l’expression des ARNm de MIP-2 et une dimunition significative de la charge bactérienne (p < 0,05 entre les groupes).
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