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Figure 3.

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La localisation de l’ovocyte dépend d’un gradient de E-cadhérine. A. Le follicule ovarien est formé de seize cellules d’origine germinale interconnectées, l’ovocyte et les quinze cellules nourricières, entourées par une monocouche de cellules folliculaires, d’origine somatique, et constituant un épithélium continu. Ces deux populations cellulaires ont une organisation stéréotypée où l’ovocyte est toujours localisé au contact des cellules folliculaires postérieures. Cette localisation est cruciale car seules ces cellules sont compétentes pour recevoir les signaux émis par l’ovocyte (flèche verte). Les cellules folliculaires postérieures ainsi que l’ovocyte expriment un niveau plus élevé de E-cadhérine (en violet). B. La perte de la E-cadhérine dans les cellules folliculaires postérieures provoque une délocalisation de l’ovocyte qui se retrouve en position antérieure dans cet exemple. L’ovocyte adhère aux cellules qui continuent à exprimer la E-cadhérine (en violet). C. La surexpression de la E-cadhérine dans un groupe de cellules folliculaires attire l’ovocyte qui va se localiser au contact de ces cellules exprimant le niveau le plus élevé de cette molécule d’adhérence. Ces données montrent que l’ovocyte est capable de distinguer différents niveaux de E-cadhérine. La localisation de l’ovocyte dépend donc d’une différence quantitative d’une même molécule d’adhérence.

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