Figure 1.

Télécharger l'image originale
Neurochimie du comportement veille-sommeil. Dans le cortex cérébral, la concentration extracellulaire d’acétylcholine (Ach, en bleu) est maximale pendant l’éveil et le sommeil paradoxal. Ce neurotransmetteur, principalement issu du noyau basilaire, est lui-même activé par les neurones cholinergiques mésopontiques du tronc cérébral. La noradrénaline (NA, en jaune), libérée par les neurones du locus cœruleus pontique, est maximale pendant l’éveil et minimale pendant le sommeil paradoxal. Dans le cortex préfrontal, la dopamine (DA, en rouge) provenant des neurones de l’aire tegmentale ventrale du mésencéphale est à un taux significativement inférieur en sommeil paradoxal par rapport à l’éveil. Dans le noyau accumbens, le glutamate (GLU, en vert) libéré par le cortex préfrontal et l’hippocampe, mais aussi par l’amygdale, est très diminué en sommeil paradoxal, tout comme la noradrénaline libérée conjointement par des neurones du locus cœruleus et du bulbe rachidien. La libération de dopamine est légèrement plus élevée en sommeil paradoxal qu’en éveil. NB : noyau basilaire ; CP : cortex préfrontal ; A : amygdale basolatérale ; NAC : noyau accumbens ; HPC : hippocampe.
Les statistiques affichées correspondent au cumul d'une part des vues des résumés de l'article et d'autre part des vues et téléchargements de l'article plein-texte (PDF, Full-HTML, ePub... selon les formats disponibles) sur la platefome Vision4Press.
Les statistiques sont disponibles avec un délai de 48 à 96 heures et sont mises à jour quotidiennement en semaine.
Le chargement des statistiques peut être long.