Figure 2.

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Puce à protéines recombinantes. Une banque d’ADNc préparée à partir de cerveau humain fœtal est directionnellement clonée dans un vecteur bactérien qui permet l’expression des protéines (étape 1). Les centaines ou milliers de protéines recombinantes non redondantes constituent ainsi le substrat protéique susceptible de contenir les cibles des auto-anticorps. Elles sont disposées isolément à l’aide d’un robot et fixées sur la surface chimiquement active d’une puce (étape 2). Celle-ci se comporte alors comme une surface affine vis-à-vis des auto-anticorps contenus dans le liquide physiologique à analyser (étape 3), qui est ainsi filtré par la puce. Après incubation avec des anticorps secondaires couplés à un traceur, l’observation de la puce à l’aide d’un Imager permet de repérer la localisation des spots immunoréactifs et donc d’identifier directement les auto-antigènes (étape 4).
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