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Figure 1.

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Macroautophagie. Le conjugué protéique Atg5-Atg12, recruté à partir du cytoplasme, permet la conjugaison d’Atg8 (MAP-LC3) et de la phosphatidyléthanolamine sur la membrane pré-autophagosomale (MPA). La formation de l’autophagosome nécessite aussi la production de phosphatidylinositol 3-phosphate (PtdIns3P) par la phosphatidylinositol 3-phosphate kinase (PI3K) type III localisée probablement sur la membrane du réseau trans-golgien (RTG) où elle interagit avec la protéine bécline 1 (Atg6). Après formation de l’autophagosme, la plupart des protéines Atg sont recyclées vers le cytosol, à l’exception notable d’une fraction Atg8-phosphatidyléthanolamine, qui est un marqueur de l’autophagosome, insensible à la déconjugaison réalisée par Atg4 du fait de sa topologie membranaire. Après fusion avec des endosomes (précoces et/ou tardifs), le matériel séquestré dans l’autophagosome est digéré dans le lysosome (y compris la copule protéique du complexe Atg8-phosphatidyléthanolamine intravacuolaire). La macroautophagie est stimulée par divers signaux qui sont transduits le long de voies de signalisations dont la voie PI3K de type I/PKB/mTOR pour aboutir à la membrane autophagosomale. L’articulation exacte entre la signalisation et le déclenchement de la formation de l’autophagosome reste à mieux définir.

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