Figure 1.

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Les deux méthodes utilisées pour prouver la pluripotence des cellules ES ou iPS in vivo. À droite, la stratégie classique de formation de chimères : les cellules mCSE ou miPS (vert) sont injectées dans un blastocyste hôte normal, contenant sa propre masse interne (rouge). Les cellules CSE/iPS s’intègrent dans le blastocyste, qui est réimplanté dans l’utérus d’une souris pseudo-gestante. Les embryons se développent et donnent des souriceaux nouveau-nés normaux chimériques : les tissus sont dérivés des celules CSE/iPS (vert) et des cellules de la masse interne du blastocyste hôte (en rouge). En revanche, le placenta et les annexes sont dérivées uniquement du trophectoderme du blastocyste hôte (gris). À gauche, un embryon tétraploïde est créé par électrofusion d’embryons au stade 2 cellules. La fusion des blastomères entraîne la formation d’un embryon 4n. Cette tétraploïdie compromet le développement des tissus intra-embryonnaires (la masse interne anormale 4n n’a pas été représentée) ; les cellules 4n qui se divisent sont seulement capables de se différencier en cellules extra-embryonnaires formant le placenta et les annexes ; les cellules CSE ou iPS sont injectées dans cet embryon 4n (ou agrégées avec lui) et celui-ci est ensuite réimplanté dans l’utérus d’une femelle pseudo-gestante. Les embryons qui se développent et qui donnent naissance à des animaux viables sont exclusivement dérivés (à 100 %) des cellules CSE ou iPS 2n injectées (couleur verte des embryons). En revanche, le placenta et les annexes sont entièrement dérivées des embryons hôtes tétraploïdes (gris).
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