Figure 2.

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Activation des lymphocytes T par les cellules dendritiques. Les cellules dendritiques dérivent de précurseurs circulants. Ces précurseurs dérivent de progéniteurs hématopoïétiques qui prolifèrent dans la moelle osseuse. Situées dans les tissus périphériques, les cellules dendritiques à l’état immature capturent les antigènes issus de différents pathogènes (1). En présence de molécules issues de pathogènes comme les PAMP (pathogen-associated molecular pattern, reconnus par les TLR, toll-like receptors), de molécules associées à l’inflammation, comme les cytokines pro-inflammatoires interleukine-1β (IL-1β) et tumor necrosis factor α (TNFα), ces cellules dendritiques entrent ensuite dans un processus de maturation et migrent vers les organes lymphoïdes secondaires (2). Dans les organes lymphoïdes secondaires, les cellules dendritiques matures présentent aux lymphocytes T CD4 et/ou CD8 les peptides issus des antigènes en association avec les molécules du CMH, ce qui déclenche la différenciation des lymphocytes spécifiques de l’antigène en cellules effectrices. Ces lymphocytes T activés quittent les organes lymphoïdes secondaires pour rejoindre le site original de l’infection (présence de l’antigène) (3). Les cellules dendritiques meurent par apoptose (4).
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